Ecolier (I’), le Pédant, et le
Maître d’un jardin (IX, 5) |
Au
XVIIème, le Pédant est le maître d'école.
Je hais les
pièces d'éloquence
Hors de leur place, et qui n'ont point de fin ;
Et ne sais bête au
monde pire
Que l'Ecolier, si ce n'est le Pédant. |
Ecrevisse (I’) et la Fille (Xll, 10) |
Les
sages quelquefois, ainsi que l'Ecrevisse,
Marchent à reculons, tournent le dos au port.
C'est l'art des matelots : c'est aussi l'artifice
De ceux qui, pour couvrir quelque puissant effort,
Envisagent un point directement contraire. |
Education (I’) (VIII, 24) |
On
ne suit pas toujours ses aïeux ni son père :
Le peu de soin, le temps, tout fait qu'on dégénère.
Faute de cultiver la nature et ses dons,
Ô combien de Césars deviendront Laridons ! |
Eléphant (I’) et le Singe de Jupiter
(XII,21) |
Les
petits et les grands sont égaux à leurs yeux
(aux yeux des Dieux) |
Enfant (l’) et le Maître d’école
(I, 19) |
(fable
à rapprocher de "l'Ecolier, le Pédant et le Maître d'un
jardin"
En toute affaire ils ne font que songer
Aux moyens d'exercer leur langue. |
Enfouisseur (l') et son compère (X, 4) |
Il
n'est pas malaisé de tromper un trompeur
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